Cloé n'arrivait pas encore à dormir. Saleté de rêves qui l'empêchaient de trouver le sommeil. Depuis quelques temps sombrer dedans était devenu trop difficile. Il fallait qu'elle bouge, qu'elle s'occupe sinon elle allait devenir folle dans pas longtemps. Toutes les autres filles dormaient encore, et comme d'habitude, elle était la seule à ne pas le faire. Et puis, il faisait ici une chaleur intenable, presque suffocante. Tout en rejetant ses draps, elle se leva rapidement avant d'enfiler simplement un jean et sa paire de chaussures par dessus son pyjama.

* Ridicule. Pensa t-elle en captant son regard dans le miroir du dortoir. Totalement et délibérément ridicule. M'enfin, il n'y aura personne de toute façon. *

Puis, attachant ses cheveux, elle sortit dans les couloirs. Les tableaux dormaient tous, ou presque, mais elle n'avait pas envie pour une fois de s'attarder à les contemplés comme elle aimaient tant le faire ... Une passionnée de peinture, voilà ce qu'elle était. Regardant dehors, elle vit les étoiles qui brillaient et eue une soudaine envie de se balader dans le parc.
Transplanant rapidement dans la chambre, elle pris sa grenouille dans sa main et retourna directement près de la foret.

Cloé s'allongea dans l'herbe glacé, ses mains sous sa tête et ses cheveux éparpillés autour. Plus tard, elle commença à songer à son avenir proche.

* Mhum ... que vais je faire maintenant ? Rester ici ? Rentrer ? Ou encore faire une balade à dos de Sombral ? Les possibilités sont ... comment dirais t-on, nombreuses ... *

Un sourire s'étira sur son visage. La volière, voilà où elle pourrait se rendre. De plus, les oiseaux l'occuperait sans problème.

Quelques minutes plus tard, elle était en train de monter les marches dures et froides de la tour. Depuis combien de temps n'avaient t-elles pas envoyé de lettre à sa famille ? Lontemps en tout cas. Assez pour qu'ils soient capables d'attendre encore un peu supposa t-elle tout en montant lentement les escaliers ...
La jeune fille était presque arrivée en haut qu'elle vit une silhouette qui ne bougeait pas. Tournée vers le bas de surcroît. Qui était- ce ? Elle continua d'avancer, sans peur, comme à son habitude. Ou plutôt sans réfléchir, ce qui rentre aussi dans ses habitudes. Quelque fois.

Elle commença à parler :

Oui ? Je ne pensais pas trouver âme qui vive à cette heure, surtout ici ... Mais, je ne suis pas censé non plus être ici. Elle sourit difficilement et son nez grimaça une seconde. Je ne suis pas préfète ni quoi que ce soit dans le genre ...

La rouge et or se pencha vers elle même, détailla sa tenue, fit une drôle de tête durant un instant et releva la tête pour observer celui qui lui faisait face ... Il était à Serpentard, elle venait de voir sa robe verte et argent qui flottait dans les airs. Blond. Mince. Cloé croyait en avoir déjà entendu parler, il s'appelait Tylor. Anais avait du le placer une fois pendant une de leur innombrables anciennes conversations ... Tylor. Oui, ça devait être lui ...

La sorcière grimpa encore de quelques marches, le dépassa et rentra dans la volière sombre. Elle avait enfin décidé de s'occuper en postant une lettre à ses parents. Ridicule mais prenant. Ceux ci ne lui en avaient pas non plus demandé durant ces année au château. Mais, reculant elle s'arrêta deux secondes en face de lui.

Hum, si tu pouvais éviter de tout répéter ... Ce serait vraiment super pour moi ... Tu comprends ?
Au fait, moi c'est Cloé. Ne t'occupes donc pas de ma tenue ... improvisée ?!

Silence puis sourire. Pas vers le noir et hululement de hibou et de chouettes.

- Je vais t'en apprendre une bonne, princesse : que tu sois préfête ou la fille cachée de la Reine Elisabeth, j'en ai rien à battre.

Cloé venait de remarquer que le garçon en question n’était pas d’excellente humeur à ce moment là. Elle répondit néanmoins, pensant déjà à sa vie perdu :

Ca tombe bien, je ne suis ni l’une ni l’autre. Et puis, tu as le droit de me trouver barbante mais … Je donc ce que je veux. C’est bien ma vie, comme tu l’a précisé. Elle fit la moue. Et comment je m’habille n’a aucune importance à cette heure n’est ce pas ? Je ne pensais pas vraiment te trouver là vois tu et tu me paraît … un tantinet orgueilleux. Excusez moi, monsieur si je ne suis ni une des tes … hum … amantes. Ni le genre de fille que tu fréquentes habituellement. Pour finir, elle leva les yeux au ciel, de façon à ce qu'il voit qu'elle le trouvait ridicule.

· * Non mais, quel … *

Elle ne termina pas ses pensées, la chouette qui s’occupait de son courrier arriva enfin. On le lui avait passée étant donné qu’elle n’en possédait pas elle même. Bien entendue, ce n’était pas le grand luxe. Une fois sur trois elle se trompait d’adresse. M’enfin … Vu le peu de courrier qu’elle envoyait …
Quand l’animal du nom de Vérona qui appartenait à Tylor s’en alla enfin, il s’assit à par terre dans je ne sais quel but. C'était un faucon, ses plumes marrons parraissait soyeuses et ses yeux donnait l'impression que cet animal pensait et comprenait ce qui se passait autour de lui. Finalement, la sorcière se dit qu'elle aurait peut être acheté un animal utile mais elle adorait sa grenouille. D'ailleurs, en ce moment, elle se tortillait dans sa poche. Mais ce n'était sans doute pas le meilleur endroit pour la sortir pensa la jeune fille. La chouette de l’école partit enfin. Cloé la regarda planer avant de se retourner et de prendre place sur un morceau de poutre.
Alors que le silence s’installait, elle pensa :

* Mais, tu fous quoi là ?! Il n’est pas de bonne humeur et toi, tout ce que tu trouves à faire, c’est rester en face de lui !… *

Puis, elle tourna négligemment la tête quand elle vit une petite tache rouge apparaître au dessus de son épaule droite. Elle s’élargit rapidement.
La Gryffondor décida alors, malgré ce que sa tête lui disait de faire, c’est à dire de rentrer dans le dortoir. Elle reprit la parole :

Mhum, j’avais cru comprendre que tu venais d’une famille assez aisée, non ? Les héritiers s’assoient par terre maintenant ?… Et, tu as une blessure sur ton côté droit. Parce que, vois tu, tu saignes là …

Il ne réagit pas tout de suite, après tout, c’était son problème si tout ce que la jeune fille lui disait, il s’en moquait. Oui, pas le sien.

* Allez, va t-en, redescend de cette tour. Il n’est que stupide !… *

Bien sur qu’il était prétentieux mais , la rouge et or n’aurait jamais pu laisser quelqu’un comme ça …
Sans se demander ce qu’elle faisait elle saisit son poignet droit qui se trouvait devant la blessure, et observa cette dernière. La tâche ne faisait que s’agrandir.

Dehors, le vent était calme mais le froid était, lui, très présent. Tout était froid et gelé.

Ca tombe bien, je ne suis ni l’une ni l’autre. Et puis, tu as le droit de me trouver barbante mais … Je fais donc ce que je veux. C’est bien ma vie, comme tu l’a précisé.

Tylor leva les yeux vers elle. Non mais, son seul but dans la vie était-il de l'agacer ?! C'était un plan stupide des Gryffondor, ça, pour se venger de tout ce que leur avait fait les Serpentard !

* Du calme, Tylor, tu deviens paranoïaque...*

Et comment je m’habille n’a aucune importance à cette heure n’est ce pas ? Je ne pensais pas vraiment te trouver là vois tu et tu me paraît … un tantinet orgueilleux. Excusez moi, monsieur si je ne suis ni une des tes … hum … amantes. Ni le genre de fille que tu fréquentes habituellement .

Il n'écoutait que d'une oreille distraite les propos de la jeune femme, laissant ses mèches blondes tomber en désorde devant son regard émeraude. Certes, qu'elle s'habille comme une débraillée n'avait aucune importance, surtout à cette heure de la nuit. Cependant il ne put s'empêcher de relever sa remarque d'un air couroucé :

- Je ne suis pas orgueuilleux !

Sa réplique sonnait un peu comme l'aurait fait un petit garçon de cinq ans, mais il s'en fichait. Tout cela le laissait vraiment perplexe, et pendant une fraction de seconde, Tylor se détesta lui même d'être aussi indifférent à tout. A pour ça, il pouvait bien remercier ces parents ! Une fois son faucon partit, Tylor s'installa avec toute la grâce digne d'un Schneider au sol, et laissa ses sombres pensées l'envahir. Ca ne lui plaisait pas du tout, que cette Anaïs Mckoyeur s'infiltre dans ses rêves. Surtout que ce n'était pas première fois et ce cauchemar le hantait. Il se souvint alors de la rage qu'il l'avait annimé, lorsque Lorelai lui avait simplement répondu que s'il faisait toujours le même cauchemar avec la même jeune fille dedans, c'est juste parce que cette dernière l'obsédait. Ah ! Il ne manquait plus que ça ! Que cette garce de Blairotte l'obsède ! Comme s'il avait du temps à perdre avec les filles, pour ce que ça rapporte ! Il entendit un froissement d'ailes, et apperçut du coin de l'oeil qu'une miteuse petite chouette venait de prendre son envole et planait au dessus de la verdure du parc. Puis un silence pesant s'installa sur la volière. Sa curiositée pîquée au vif, Tylor releva ses prunelles vertes vers la jeune Gryffondor pour savoi ce qu'elle fabriquait et vu qu'elle s'était tranquilement installée en face de lui, et le fixait.

- Assez aisée... Il eut un petit rire. Tu sais, dans ce monde tout se vend et tout s'aquiert à part quelques exceptions. Par expérience je peux affirmer qu'on peut obliger une personne à se soumettre et obéir. On peut facilement forcer le respect d'autrui si l'on sait être convaincant. Et si, comme mes parents, on a beaucoup, beaucoup d'argent, on peut même acheter le silence ou l'âme de quelqu'un. Pour te dire...

Il détourna la tête ignorant sa réplique avant de fronçer les sourcils et de regarder sa chemise de tâcher de sang. Son tatouage le brûlait. Lâchant un petit gémissement de douleur l'héritier se mit à genoux et commença à dégraffer les boutons de sa chemise, laissant appercevoir son torse d'Appolon. Il eut un sourire sarcastique :

- Tu es chanceuse, Cloé, mais, il fallait me le dire si tu voulais voir mon corps. Ca peux toujours s'arranger.

Il se releva, torse-nu, et tendit sa main à Cloé.

- Déchire un bout de ton pyjama. J'ai besoin d'un bandage, et d'ailleurs, c'st toi qui vas me le faire.

Son ton froid et impérieux ne laissait pas vraiment la place à la négociation, mais il était clair qu'il l'a méttait au défis de le faire.

Quand le Serpy expliqua qu'avec l'argent, on pouvait tout obtenir ou presque, la jeune fille se dit qu'il avait limite raison et que c'était pour cela que les gens aimaient être riches ...
Et ensuite, quand il ajouta qu'il était possible d'acheter le silence de quelqu'un, inconsciemment, elle se tut. Après tout, parler avec lui était quelque chose ... de si différent de ce qu'elle faisait habituellement ... Égocentrique oui, il semblait l'être. Pathétique surtout ...

Il régnait un froid glacial dans la volière. Le vent s'infiltrait partout et il était quasi impossible de trouver un endroit où l'on pouvait se mettre sans recevoir de bourrasques. Les chouettes et hiboux ne hululaient pas, comme si elles comprenaient ce qui se passait sous leurs yeux. Conscientes que c'était nouveau, différent de tous contactes auxquels les deux personnes personnes présentes n'avaient pas l'habitude. Serrés les uns aux autres, de petites plumes voletaient sur le plancher sombre.

Tu veux que je fasse ça ?

Désigna t-elle en montrant le tatouage couvert de rouge. Devant elle, le jeune homme se tenait debout, son tatouage saignait et le liquide rougeâtre glissait le long de son torse. Musclé, beau. Oui, magnifique. Le genre de truc que toutes les filles semblent aimer. Elle réfléchit deux secondes, puis.

Et si je ne fais rien ? Enfin, tu nous trouve trop gentils, nous, les Gryffondor. Étrangement, beaucoup de personnes pensent cela. Très bien. Et bien sur que si tu es orgueilleux ... Mais enfin ...

Cloé se pencha en avant, déboutonna à son tour son pull et laissa apparaître le pyjama qu'elle portait. Il n'était pas excessivement couvrant ... Puis, doucement, tirant sur sa manche gauche, un morceau se détacha. Les fils pendaient mais, elle, tout ce qu'elle voulait s'était prouvé au jeune prétentieux qu'il la fixait que son défi était ... ridicule ? Jamais elle n'aurait du faire ça, mais, à l'intérieur de ses pensée, la rouge et or pensait que elle changeait bizarrement ces derniers temps et qu'elle avait envie d'oser. Même si ça faisait plaisir, en quelque sorte, à un Serpy héritier ...

Cloé s'approcha de lui d'une démarche légère, même si elle improvisait tout au fur et à mesure, cela lui venait naturellement et c'était bien pratique.
Non bien sur elle n'avait jamais fait de bandages auparavant et elle se trouvait bizarre de ne penser qu'a la tête finale du pansement que plutôt à Tylor ... Étrange effectivement. Bien entendu, Cloé ne s'avouerait pas, même seule et silencieusement qu'il avait un certain charme.
Son bras passa agilement sous celui du garçon, elle attrapa ensuite l'autre côté du tissus et le plaça sur l'épaule du Serpentard. Cloé serra, assez fort pour que le sang arrête de couler bien sur, mais aussi pour qu'il comprenne qu'elle le faisait bien pour l'aider. Pas parce qu'elle l'aimait bien. [ Du moins, pour le moment. x]

Puis, se retournant, elle reprit sa place près de la fenêtre, regardant Tylor, torse nu, debout au milieu de la pièce. Pourquoi ne remettait t-il pas sa chemise ?
Les garçons, elles ne l'aimaient pas particulièrement. Ils étaient toujours là à tout faire pour prouver. Une capacité, une réponse ... La Gryffondor savait pertinemment que lui aussi, n'en avait rien à faire d'elle. Mais, ça lui apportait quoi de se le dire encore une fois ? Surtout, que lui apportait l'héritier ? Pas une façon d'avoir un ami extrêmement précieux en tout cas ...

Tu veux me faire faire quoi ? Me provoquer ? Me pousser à bout ? Cloé ferma les yeux. Je ne pense pas que ... quoi que je fasse puisse te montrer que je ... ne suis pas ce que j'ai l'air. Mais, t'en a rien à faire. C'est vraiment pas de chance que l'on se soit croisés cette nuit ...

Elle s'était vite relevée et était désormais juste à côté de Tylor.

Je n'ai pas particulièrement envie de voir ton corps, comme tu dis mais j'avoue être assez bien placé pour le faire.

Elle mis sa main sur la blessure, comme si elle ne faisait pas exprès et appuya une fois avant de le regarder. Au fond d'elle même, Cloé savait que cela arriverait bien une fois, malgré ce qu'elle pensait de la gente masculine.
Malgré tout. Malgré elle.

[ HJ : ]


Après qu'elle eu fait son bandage, le Serpy était devenu violent. Bien sur qu'elle n'en avait rien à faire de ce qu'il pouvait dire ou même penser. Cloé lui faisait face sans rien laisser paraître bien que son ventre se nouait. Que fallait t-il faire quand on vous insultait mais que votre seul but est d'aider les autres ? Que actions devaient t-elle accomplir ?... Le froid régnait dans la vieille pièce. Le vent entrait partout et la seule poutre qui tenait encore debout paraissait elle même gelée au point de craquer. Quelle tristesse. Toute cette nuit qui les enveloppaient au point que rien n'aurait pu les ramener à la lumière. L'héritier n'était pas mignon va t-on dire. Il était beau. Une sorte de mystère enveloppai ses prunelles vertes. Vert ... comme sa maison. Celle des gens parfois odieux, parfois stupides. Après tout, il devait y avoir des gens stupides partout quand on y pense ... Son torse luisait sous la lune qui laissait rentrer sa lueur dans la volière. Les chouettes ne faisaient aucun bruit.

Puis, elle se sentit plaqué contre la poutre. Il était là, juste à côté d'elle. Ses doigts froids posés sur son cou. Que pouvait t-il faire ? Tout ça n'était t-il qu'un éternel recommencement ? Fallait t-il qu'elle soit violenté et jugée par tous ceux qu'elle croisaient ? Tout le monde juge tout le monde. Pour se protéger sans doute ... Se sentir mieux donne de l'assurance.

Cloé faisait face à Tylor. Encore une fois, elle n'avait pas vraiment peur. Elle s'efforçait de ne pas imaginer ce qu'il pourrait se passer. Après l'avoir plaquée contre le mur, la main sur sa gorge, il l'a regarda dans les yeux, puis, l'embrassa sur le front. Pour la jeune femme, ce fut étrange. Doux et sucré. Changeant et nouveau. Un flot de sensation la traversa d'un côté à l'autre. Que fallait t-il pensé maintenant ? Tout ce que Tylor trouva à dire fut :

Pardon, je n'aurais pas du m'enerver.

Cloé fut surprise par la réponse. Elle s'attendait à tout sauf à ça. Quoi que .. Elle ne pensait surtout pas qu'il puisse s'excuser. Cette idée ne lui avait, en aucun cas, traversé l'esprit. Pas un seul instant, pour la jeune femme, le Serpy la prendrait pour quelqu'un du même ordre que lui. Ses yeux voulaient se fermer, ne plus s'ouvrir. Et voilà, il fallait qu'elle choisisse désormais. Au fond d'elle même, la Gryffondor savait que certaines choses allaient se passer. On devine les trucs comme ça ... Des larmes coulèrent le long de ses joues puis s'arrêtèrent. Ses pupilles étaient humides mais tout ça n'avait pas d'importance. Pas après ça.

Son coeur battait en elle comme un musicien taperait sur son tambour pour marquer le rythme. Une musique connue mais difficile à imaginer, à jouer. Les yeux de Cloé fixèrent ceux du garçon. Elle releva la tête. Quand ses pleurs furent vraiment stoppés, la rouge dit, d'une voix changeante.

Non, tu n'aurais jamais du. Mais, après avoir vraiment ouvert les yeux je pense que j'ai trouver de l'or et même quelques étoiles. En essuyant mes larmes j'ai appris par coeur comment les tiens pensaient. D'une certaine manière. [ xD ]


Elle soupira. Ses mains retrouvèrent le toucher doux du tissus sur le torse de l'héritier. Non, elle n'allait pas le faire souffrir encore. Du moins, elle allait essayer. C'était surtout à lui de prévenir quand il changeait brusquement. Prévoir ses geste et actions serait une bonne chose. Pour elle. Si Tylor pouvait éviter de la mettre et la serrant contre lui sur n'importe quel mur, ce serait bien, non ?